Rimbaud comme postulat: "j'aimais les peintures idiotes, dessus de porte, décors, toiles de saltimbanques, enseignes." Et proximité, par exemple, avec Lewis Baltz, Michelangelo Antonioni ou Wim Wenders, mais aussi Eric Tabuchi, pour ne citer qu'eux. (cliquer pour agrandir)
lundi 11 février 2013
mardi 5 février 2013
Dix ans après, Laurent Bourdelas (re)photographie sa rue d'enfance...
En 2003, le Pavillon de l'Orangerie acceuillait, dans le cadre de Lire à Limoges et du Printemps des Poètes, une exposition exceptionnelle de Laurent Bourdelas: Rue d'enfance. Trente photographies choisies
parmi plus de 500 clichés pris l'été 2002 à travers la plus longue
artère de la ville de Limoges: la rue Aristide Briand, ancienne route
d'Ambazac. Une exposition accompagnée par des textes inédits de Georges-Emmanuel Clancier (dont la rue fut aussi une
de celles de son enfance), Marie-Noëlle Agniau, Pierre Bergounioux,
Claude Lacan, Patrick Mialon, Laurent Bourdelas... dont certains furent
lus lors du vernissage, par la comédienne Camille Brunel.
Saluée par la presse, l'exposition reçut, en deux semaines, des centaines de visiteurs, créant un véritable évènement. Un n° spécial de la revue L'indicible frontière lui a consacré un important dossier (à commander à: "Villa Clio", 87 260 Vicq-sur-Breuilh, 10 euros).
Dix ans après, Laurent Bourdelas revient sur place pour photographier à nouveau la rue, ses permanences et ses changements, avec un nouveau regard... Ce sera à découvrir ici en mars prochain...
Saluée par la presse, l'exposition reçut, en deux semaines, des centaines de visiteurs, créant un véritable évènement. Un n° spécial de la revue L'indicible frontière lui a consacré un important dossier (à commander à: "Villa Clio", 87 260 Vicq-sur-Breuilh, 10 euros).
Dix ans après, Laurent Bourdelas revient sur place pour photographier à nouveau la rue, ses permanences et ses changements, avec un nouveau regard... Ce sera à découvrir ici en mars prochain...
samedi 2 février 2013
Le Provençal, Juan-Les-Pins [mini série, 2005]
Né d’une volonté de promouvoir la saison estivale, le palace Le Provençal à Juan-les-Pins, a été construit par le milliardaire américain Frank Jay Gould, qui plus tard ouvrira à Nice le fameux Palais de la Méditerranée.
Le 25 juin 1927 la première
tranche du Provençal est inaugurée. Fort de ses 243 chambres dont 172
équipées de salles de bains, d’une surface cumulée des planchers de 14
835 m2, avec un restaurant pouvant servir 1000 repas par jour, il
accueille tous les grands de ce monde, artistes ou hommes d’état, tels
Winston Churchill ou John Fitzgerald Kennedy.
Florence
Gould, la seconde épouse de Frank Jay Gould, fut l’égérie de cet
établissement hors du commun. Philanthrope à ses heures, elle cultiva
des relations privilégiées avec des artistes comme Jean Cocteau, Charlie
Chaplin, Pablo Picasso, André Gide et tant d’autres.
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